On parle de plus en plus des passeurs d'âmes (nommés également « passeurs »), tout comme les tabous se lèvent peu à peu sur les différentes formes de médiumnité et de leurs missions spécifiques.
Je suis un « passeur » ; cette mission, car c'en est une, voire un sacerdoce, s'est présentée à moi voilà plusieurs années, alors que j'en ignorais complètement la dénomination !
Je suis un homme simple, conscient de l'importance de sa mission d'aidant, et conscient de sa modeste contribution à l'évolution de la lumière.
Il est donc permis de se demander quel est le rôle d'un passeur d'âmes.
Sa démarche consiste à aider, apaiser, en s’imprégnant de l'état émotionnel d'un défunt resté traumatisé par sa mort. Un passeur, à la médiumnité variable, peut voir (vue intérieure ou extérieure), entendre, ressentir, le défunt.
Je suis un sensitif.
Un défunt, pas toujours conscient de son état de « mort », peut rester longtemps (jusqu'à des décennies, ou +) très attaché à notre plan de vie matérielle, peut craindre la suite (d'un « enfer » par exemple!), peut refuser de « partir » vers la lumière en écoutant pas son guide quand il le voit.
Ce défunt peut être « freiné/retenu » par des liens affectifs avec des vivants, ou par des tâches inachevées.
Un défunt peut donc, ne pas se sentir naturellement attiré, « aspiré » par le divin ; en ce cas un vivant aux correspondances d'énergies (en l’occurrence un passeur d'âmes) a donc son utilité essentielle, afin d'atteindre le défunt en errance (âme errante), et lui transmettre l'ensemble du message destiné à l'orienter, l'accompagner vers le monde de la lumière (le monde des âmes).
Certains défunts, par souci de continuer une vie, et par crainte ou refus de suivre la lumière, prennent le sillage d'un vivant; ces défunts "vivent à travers" ce vivant ; c’est une « vie par procuration ».
En ce cas, je propose, et impose.
L'une ou l'autre de ces situations causent bien des problèmes (psychologiques, physiques) aux vivants.
Je m'investis également lors de cas d'emprises par des entités issues du bas-astral, y compris d'âmes démoniaques.
Le bas-astral (qui a de multiples niveaux), est ce qu'on peut nommer « les bas-fonds » de l'astral.
On contacte un passeur d'âmes quand on soupçonne la présence d'une âme (ou plusieurs) lors de manifestations de poltergeists (bruits, odeurs...), ou de mal-être inexplicable dans une demeure, voire dans une seule pièce.
On fait appel à un passeur quand on a la sensation de perdre le contrôle de soi, de ne plus maîtriser ses émotions.
Parfois l'origine de ce qui a motivé le contact auprès d'un humain passeur d'âmes est rationnelle, matérielle (ex. : source, mémoire des murs, etc.) ou psychologique, médicale.
L'aide vers une âme en peine (en errance) va de paire avec l'aide vers le vivant subissant la présence de l'âme, voire sa prise de sillage, son emprise.
Un défunt errant voit son évolution freinée ; il doit « monter » vers la lumière.
Un vivant subissant l'errance d'un défunt, voit lui-aussi son évolution freinée .
Je suis un « passeur » ; cette mission, car c'en est une, voire un sacerdoce, s'est présentée à moi voilà plusieurs années, alors que j'en ignorais complètement la dénomination !
Je suis un homme simple, conscient de l'importance de sa mission d'aidant, et conscient de sa modeste contribution à l'évolution de la lumière.
Il est donc permis de se demander quel est le rôle d'un passeur d'âmes.
Sa démarche consiste à aider, apaiser, en s’imprégnant de l'état émotionnel d'un défunt resté traumatisé par sa mort. Un passeur, à la médiumnité variable, peut voir (vue intérieure ou extérieure), entendre, ressentir, le défunt.
Je suis un sensitif.
Un défunt, pas toujours conscient de son état de « mort », peut rester longtemps (jusqu'à des décennies, ou +) très attaché à notre plan de vie matérielle, peut craindre la suite (d'un « enfer » par exemple!), peut refuser de « partir » vers la lumière en écoutant pas son guide quand il le voit.
Ce défunt peut être « freiné/retenu » par des liens affectifs avec des vivants, ou par des tâches inachevées.
Un défunt peut donc, ne pas se sentir naturellement attiré, « aspiré » par le divin ; en ce cas un vivant aux correspondances d'énergies (en l’occurrence un passeur d'âmes) a donc son utilité essentielle, afin d'atteindre le défunt en errance (âme errante), et lui transmettre l'ensemble du message destiné à l'orienter, l'accompagner vers le monde de la lumière (le monde des âmes).
Certains défunts, par souci de continuer une vie, et par crainte ou refus de suivre la lumière, prennent le sillage d'un vivant; ces défunts "vivent à travers" ce vivant ; c’est une « vie par procuration ».
En ce cas, je propose, et impose.
L'une ou l'autre de ces situations causent bien des problèmes (psychologiques, physiques) aux vivants.
Je m'investis également lors de cas d'emprises par des entités issues du bas-astral, y compris d'âmes démoniaques.
Le bas-astral (qui a de multiples niveaux), est ce qu'on peut nommer « les bas-fonds » de l'astral.
On contacte un passeur d'âmes quand on soupçonne la présence d'une âme (ou plusieurs) lors de manifestations de poltergeists (bruits, odeurs...), ou de mal-être inexplicable dans une demeure, voire dans une seule pièce.
On fait appel à un passeur quand on a la sensation de perdre le contrôle de soi, de ne plus maîtriser ses émotions.
Parfois l'origine de ce qui a motivé le contact auprès d'un humain passeur d'âmes est rationnelle, matérielle (ex. : source, mémoire des murs, etc.) ou psychologique, médicale.
L'aide vers une âme en peine (en errance) va de paire avec l'aide vers le vivant subissant la présence de l'âme, voire sa prise de sillage, son emprise.
Un défunt errant voit son évolution freinée ; il doit « monter » vers la lumière.
Un vivant subissant l'errance d'un défunt, voit lui-aussi son évolution freinée .